Selon les principes comptables généralement reconnus (PCGR), il existe des exigences spécifiques sur la façon dont les entreprises doivent comptabiliser les dépenses d’entretien et de réparation. Cet article donne un aperçu de ces exigences et explique comment les entreprises doivent procéder pour les enregistrer.
Les frais d’entretien courants sont ceux qui sont engagés pour maintenir un bien ou un actif dans son état actuel. Ces coûts doivent être comptabilisés dans la période au cours de laquelle ils sont engagés, et doivent être enregistrés comme une dépense. La peinture, la tonte de la pelouse et d’autres travaux d’entretien général sont des exemples de frais d’entretien courants.
Les réparations majeures sont celles qui sont nécessaires pour remettre un actif dans son état d’origine ou pour prolonger sa durée de vie utile. Ces coûts doivent être capitalisés, c’est-à-dire qu’ils doivent être enregistrés comme un actif dans le bilan plutôt que comme une dépense. Le remplacement d’un toit ou d’un gros appareil électroménager sont des exemples de réparations majeures.
Déterminer quand capitaliser les réparations
Il peut être difficile de décider quand capitaliser une réparation. En général, les entreprises doivent capitaliser une réparation si elle prolonge la durée de vie utile de l’actif de plus d’un an, ou si elle augmente la valeur de l’actif.
Une fois qu’un actif a été capitalisé, il doit être déprécié ou amorti pendant sa durée de vie utile. La dépréciation est utilisée lorsque la valeur d’un actif diminue avec le temps, tandis que l’amortissement est utilisé lorsque la valeur d’un actif reste constante.
Les entreprises doivent indiquer le coût de l’entretien et des réparations dans les notes de leurs états financiers. Cette information doit comprendre une description des réparations, les coûts encourus et la manière dont ils ont été comptabilisés.
Les implications fiscales de l’entretien et des réparations dépendent du fait qu’ils aient été capitalisés ou passés en charges. En général, les dépenses sont déductibles l’année où elles sont engagées, tandis que les réparations capitalisées sont déduites au fil du temps par le biais de la dépréciation.
Les améliorations locatives sont des réparations et des rénovations effectuées sur un bien loué. Ces coûts doivent être capitalisés et amortis sur la durée du bail.
Lorsqu’elles comptabilisent l’entretien et les réparations, les entreprises doivent s’assurer de suivre les directives des PCGR et de documenter tous les coûts. Elles doivent également s’assurer que les coûts sont enregistrés avec précision afin de garantir l’exactitude de leurs états financiers.
Nouveau nom d’article : Comprendre la comptabilité de l’entretien et des réparations selon les PCGR
L’écriture de journal des réparations et de l’entretien est la suivante :
Débit Crédit
Frais de réparation et d’entretien ________ ________
Amortissement cumulé ________ ________
Frais payés d’avance ________ ________
L’écriture de crédit dépendra du compte utilisé pour enregistrer les frais de réparation et d’entretien.
Les frais de réparation et d’entretien ordinaires sont généralement enregistrés comme des charges dans les états financiers. Ces coûts sont engagés pour maintenir le bien dans son état normal de fonctionnement et comprennent des éléments tels que la peinture, les réparations des systèmes de chauffage, de ventilation et de climatisation, et l’entretien courant. Dans certains cas, les coûts de réparation et d’entretien peuvent être capitalisés s’ils prolongent la durée de vie du bien ou s’ils en augmentent la valeur.
La réponse à cette question dépend de l’entreprise et des méthodes comptables utilisées. D’une manière générale, les réparations et l’entretien sont considérés comme un compte de dépenses. En effet, ces coûts sont généralement engagés pour assurer le bon fonctionnement de l’entreprise et son efficacité.
Les dépenses de réparation et d’entretien sont les dépenses engagées pour maintenir un actif en bon état de fonctionnement. Cela comprend à la fois l’entretien préventif (pour éviter les problèmes futurs) et les travaux de réparation (pour régler les problèmes actuels).
Les réparations et l’entretien peuvent être capitalisés lorsque les réparations et l’entretien sont considérés comme une amélioration du bien. Les réparations et l’entretien doivent également répondre aux critères suivants :
1. les réparations et l’entretien doivent ajouter à la valeur du bien.
2. Les réparations et l’entretien doivent prolonger la durée de vie de la propriété.
3.
3. les réparations et l’entretien doivent être effectués sur une partie spécifique du bien.