1. Avantages de la gestion comportementale – Les approches de gestion comportementale peuvent contribuer à améliorer les performances sur le lieu de travail en créant un environnement dans lequel les employés sont motivés pour faire de leur mieux. Les approches de gestion comportementale se concentrent sur la création et le renforcement des comportements positifs qui soutiennent les buts et les objectifs de l’organisation. Ce type d’approche de gestion repose sur la conviction que les employés seront plus enclins à être performants s’ils sont récompensés pour les comportements qui sont valorisés par l’organisation.
2. Établir des buts et des attentes clairs – Pour s’assurer que les employés sont motivés à donner le meilleur d’eux-mêmes, il est essentiel d’établir des buts et des attentes clairs. Les objectifs doivent être réalistes, mesurables et réalisables. Les employés doivent être informés de ce que l’on attend d’eux afin qu’ils comprennent clairement ce qu’ils doivent faire pour réussir.
Fixer des normes de rendement – Les normes de rendement sont nécessaires pour mesurer et évaluer le rendement des employés. Les normes de performance doivent être clairement définies et mesurables afin que les employés sachent ce que l’on attend d’eux. Il est également important de s’assurer que les normes de performance sont réalistes et réalisables.
Systèmes de récompense pour les comportements qui améliorent les performances – Pour motiver les employés à donner le meilleur d’eux-mêmes, il est important de les récompenser pour les comportements qui sont appréciés par l’organisation. Les récompenses peuvent prendre de nombreuses formes, comme la reconnaissance, les primes ou même les promotions. Il est important de s’assurer que les récompenses sont significatives et appropriées aux comportements qui sont récompensés.
5. S’attaquer aux comportements improductifs – Pour s’assurer que les employés respectent les normes établies par l’organisation, il est important de s’attaquer à tout comportement improductif. Les comportements improductifs peuvent aller du retard au non-respect des délais en passant par une mauvaise communication. Ces comportements doivent être traités rapidement et fermement afin que les employés comprennent les conséquences de leurs actions.
Stratégies de mise en œuvre de la gestion comportementale – Une fois que les objectifs et les normes de performance ont été établis, il est important de créer une stratégie de mise en œuvre pour s’assurer que l’approche de gestion comportementale est suivie. Il peut s’agir de programmes de formation, d’ateliers ou d’autres activités visant à s’assurer que les employés connaissent les objectifs et les attentes fixés par l’organisation.
7. Mesure du rendement des employés – Pour déterminer si les employés répondent aux normes de rendement établies par l’organisation, il est important de mesurer leur rendement. Il peut s’agir d’une évaluation de leurs connaissances, de leurs compétences et de leurs capacités, ainsi que de leur performance dans les tâches liées à leur emploi. La mesure de la performance permet à l’organisation de déterminer les domaines à améliorer et de reconnaître les domaines d’excellence.
8. Évaluer le succès de la gestion comportementale – Pour s’assurer que l’approche de gestion comportementale utilisée est réussie, il est important d’évaluer le succès du programme. Cette évaluation doit inclure les commentaires des employés et des superviseurs, ainsi qu’une évaluation des performances de l’organisation. L’évaluation du succès de la gestion comportementale permet à l’organisation d’apporter les changements nécessaires pour s’assurer qu’elle obtient les résultats souhaités.
Il existe trois grands types d’approches comportementales de la gestion : l’approche autocratique, l’approche participative et l’approche du laissez-faire.
L’approche autocratique est fondée sur la conviction que le manager est le seul à savoir ce qui est le mieux pour l’entreprise et que les employés doivent faire ce qu’on leur dit. Cette approche est souvent utilisée dans des situations où il y a peu de temps pour la discussion et le débat et où des décisions rapides doivent être prises.
L’approche participative repose sur la conviction que les employés sont plus susceptibles d’être motivés et productifs s’ils sont impliqués dans le processus décisionnel. Cette approche conduit souvent à une meilleure prise de décision car elle prend en compte les différents points de vue de toutes les personnes impliquées.
L’approche du laissez-faire est fondée sur la conviction que les employés devraient avoir autant de liberté que possible pour faire leur travail. Cette approche peut souvent conduire à des niveaux plus élevés de créativité et d’innovation, car les employés peuvent travailler sans restrictions.
Les entreprises qui utilisent l’approche comportementale cherchent à modifier le comportement des employés par un système de récompenses et de punitions. Cette approche repose sur l’idée que les employés sont motivés par la perspective de récompenses (telles que des primes ou des augmentations) et la crainte de sanctions (telles que la rétrogradation ou le licenciement). L’approche comportementale est souvent utilisée dans les entreprises qui s’efforcent d’améliorer les performances de leurs employés.
L’approche comportementale de la gestion se concentre sur l’étude du comportement humain dans un contexte organisationnel. Le principe de base de cette approche est que le comportement des employés est façonné par leurs expériences passées et que ce comportement peut être modifié par le renforcement ou la punition.
Cette approche a été utilisée dans une variété de contextes, y compris les entreprises, les écoles et les organismes gouvernementaux. Dans un contexte professionnel, l’approche comportementale peut être utilisée pour améliorer la productivité et la motivation des employés. Par exemple, si un employé est constamment en retard au travail, l’entreprise peut utiliser un programme de renforcement pour l’encourager à être à l’heure. Le programme de renforcement peut consister à accorder à l’employé une prime pour chaque semaine où il est à l’heure.
L’approche comportementale peut également être utilisée pour traiter des questions telles que l’absentéisme, le turnover et la satisfaction au travail. Par exemple, si l’absentéisme est un problème dans une entreprise, celle-ci peut utiliser un calendrier de punitions pour décourager les employés de manquer le travail. Le programme de punition peut impliquer une déduction de salaire pour chaque jour d’absence de l’employé.
L’approche comportementale a été critiquée pour son manque d’attention aux causes sous-jacentes du comportement. Par exemple, un employé peut arriver en retard au travail parce qu’il n’a pas de moyen de transport fiable. Dans ce cas, l’approche comportementale ne s’attaque pas à la cause sous-jacente du problème et se contente de punir l’employé pour son retard.