Établir une norme de confidentialité
1. Définition de la confidentialité sur le lieu de travail – Sur le lieu de travail, la confidentialité désigne l’obligation d’un employé de préserver le secret des informations sensibles. Il s’agit d’informations commerciales et personnelles, telles que les données des clients, les informations financières et les dossiers du personnel. Il est important que les employés comprennent la définition des informations confidentielles et les conséquences de la divulgation de ces informations.
2. Établir des politiques de confidentialité – Les organisations doivent mettre en place des politiques qui définissent clairement les attentes en matière de maintien de la confidentialité. Ces politiques doivent être décrites dans un document écrit que tous les employés doivent lire, comprendre et signer. La politique doit inclure les types d’informations qui sont considérées comme confidentielles et les conséquences qui peuvent découler de la divulgation non autorisée de ces informations.
Les organisations doivent fournir aux employés des lignes directrices pour le maintien de la confidentialité. Ces directives doivent inclure les meilleures pratiques de traitement des informations confidentielles, telles que le stockage et l’élimination des documents de manière appropriée, la limitation de l’accès aux informations confidentielles et l’évitement des conversations occasionnelles qui pourraient conduire à la divulgation d’informations confidentielles.
Interdire la divulgation non autorisée – Les entreprises doivent interdire explicitement la divulgation non autorisée d’informations confidentielles, tant en interne qu’en externe. Les employés doivent être informés que toute divulgation d’informations confidentielles qui n’est pas approuvée par l’organisation peut entraîner des mesures disciplinaires, pouvant aller jusqu’au licenciement.
5. Protection des données et droit à la vie privée – Les organisations doivent se conformer aux lois et règlements applicables en matière de protection des données et de droit à la vie privée. Cela inclut la collecte, l’utilisation et l’élimination appropriées des données personnelles, ainsi que la notification des personnes dont les données ont été consultées ou divulguées.
6. Protection des informations confidentielles lors des réunions – Les employés doivent savoir que les informations confidentielles ne doivent pas être discutées dans des lieux publics, tels que les ascenseurs et les cafétérias. Les informations confidentielles doivent être discutées dans des lieux privés et sécurisés.
7. Utilisation appropriée de la technologie et des médias sociaux – Les informations confidentielles ne doivent pas être partagées par des moyens non sécurisés, tels que le courrier électronique, la messagerie texte ou les plateformes de médias sociaux. Les employés doivent être formés à l’utilisation appropriée de la technologie et des médias sociaux afin de garantir la protection des informations confidentielles.
8. Conséquences de la violation de la confidentialité – Les employés doivent être conscients des conséquences de la violation des politiques de confidentialité. Il peut s’agir d’une mesure disciplinaire, telle qu’une suspension ou un licenciement, ou d’une action en justice. Les organisations doivent faire comprendre aux employés que toute violation de la confidentialité ne sera pas tolérée.
En établissant une norme de confidentialité sur le lieu de travail, les organisations peuvent s’assurer que les informations sensibles sont correctement protégées et que les employés sont conscients des conséquences d’une divulgation non autorisée.
Les quatre principes de la confidentialité sont les suivants :
1. les informations ne doivent être partagées qu’en cas de nécessité. 2. les informations ne doivent être partagées qu’en cas de nécessité.
Les informations ne doivent être partagées qu’avec les personnes qui ont une raison légitime de savoir.
Les informations ne doivent être partagées que de manière sécurisée. 4.
4. les informations ne doivent être partagées qu’avec le consentement de la personne concernée.
Il existe une variété d’exemples de codes de conduite que les entreprises peuvent choisir d’adopter. Voici quelques exemples courants :
-Respect des autres : Il s’agit de traiter les autres avec respect, sans considération de race, de sexe, de religion, d’orientation sexuelle ou d’autres caractéristiques personnelles. Il s’agit également d’éviter tout langage ou comportement offensant et de promouvoir un environnement inclusif.
-Intégrité : Ce principe encourage un comportement honnête et éthique dans tous les aspects du travail, y compris dans les relations avec les clients, les fournisseurs et les collègues. Il s’agit également d’éviter les conflits d’intérêts et d’agir dans le meilleur intérêt de l’entreprise.
-Professionnalisme : Ce principe met l’accent sur la nécessité de maintenir des normes élevées de conduite professionnelle, notamment en agissant de manière à donner une image positive de l’entreprise. Il s’agit également d’éviter les activités qui pourraient compromettre la réputation de l’entreprise.
-Communication : Ce principe encourage une communication ouverte et honnête au sein de l’entreprise, ainsi qu’avec les clients, les fournisseurs et les autres parties prenantes. Il inclut également le maintien de la confidentialité lorsque cela est nécessaire.
Le devoir éthique de confidentialité est la responsabilité de tous les prestataires de soins de santé de maintenir la confidentialité des informations de santé protégées (ISP) de leurs patients. Cela signifie que les prestataires de soins de santé doivent prendre des mesures pour s’assurer que les RPS ne sont pas partagées avec des personnes non autorisées ou que celles-ci n’y ont pas accès. Les prestataires de soins de santé doivent également veiller à ce que les RPS ne soient utilisées qu’aux fins auxquelles elles sont destinées.