La violence au travail est tout comportement qui menace, intimide ou met en danger la sécurité des personnes sur le lieu de travail. Il peut s’agir d’une agression physique, de menaces verbales ou même de comportements non verbaux comme l’intimidation. La violence au travail peut être perpétrée par n’importe qui sur le lieu de travail, que ce soit un collègue, un superviseur ou même un client.
La violence au travail peut avoir un impact étendu et dévastateur sur tout lieu de travail. Elle peut entraîner des traumatismes physiques et émotionnels, une baisse du moral et même une diminution de la productivité. Dans certains cas, elle peut même entraîner des poursuites judiciaires contre l’auteur ou l’entreprise.
Quels sont les signes d’une violence au travail non traitée ?
Lorsque la violence au travail n’est pas traitée, elle peut être difficile à détecter, mais certains signes peuvent indiquer qu’il s’agit d’un problème. Ces signes peuvent inclure une augmentation des niveaux de stress, une hausse de l’absentéisme et des changements de comportement. En outre, les travailleurs peuvent signaler qu’ils ne se sentent pas en sécurité ou menacés sur leur lieu de travail.
Que peuvent faire les employés lorsque la violence n’est pas abordée ?
Si la violence au travail n’est pas traitée, les employés ont quelques options. Il est important de signaler d’abord l’incident à un superviseur ou à une personne en position d’autorité. En outre, ils peuvent demander l’aide d’un avocat s’ils pensent qu’ils risquent de subir d’autres dommages ou que leurs droits ont été violés.
Les employeurs ont la responsabilité d’assurer la sécurité de leurs employés sur le lieu de travail. Cela implique de fournir une formation sur la prévention de la violence au travail, d’établir une politique et une procédure claires pour traiter les incidents de violence au travail, et de développer un système pour fournir un soutien aux employés concernés.
Dans la plupart des cas, la violence au travail constitue une violation des lois fédérales et de l’État et peut faire l’objet de poursuites judiciaires. Selon la gravité de l’incident, l’auteur peut faire l’objet de poursuites pénales ou être poursuivi par la victime ou sa famille.
Si la violence au travail n’est pas traitée, les effets à long terme peuvent être considérables. Non seulement elle peut entraîner un traumatisme physique et émotionnel pour les victimes, mais elle peut également entraîner une baisse de la productivité et du moral sur le lieu de travail. En outre, cela peut entraîner une augmentation des frais juridiques et des poursuites potentielles.
La meilleure façon de prévenir la violence au travail est de développer une stratégie globale qui comprend la formation, l’élaboration de politiques et le soutien aux employés. Les employeurs doivent également être conscients de tout signe potentiel de violence au travail, tel que des changements de comportement ou de niveau de stress, et prendre des mesures pour y remédier rapidement et efficacement.
Oui, l’OSHA a quelque chose à voir avec la violence au travail. La violence au travail est un risque reconnu sur le lieu de travail, et l’OSHA a publié des directives sur la manière dont les employeurs peuvent prévenir et répondre à la violence au travail.
Oui, l’administration de la santé et de la sécurité au travail (OSHA) protège les employés contre la violence au travail. La violence au travail est tout acte ou menace de violence physique, de harcèlement, d’intimidation ou tout autre comportement menaçant qui se produit sur le lieu de travail. Les normes de l’OSHA en matière de violence au travail exigent des employeurs qu’ils prennent des mesures pour prévenir et protéger les travailleurs contre la violence au travail. Ces mesures comprennent la réalisation d’une évaluation des risques, l’élaboration et la mise en œuvre d’un plan de prévention de la violence au travail et la fourniture d’une formation aux travailleurs sur la manière de prévenir et de répondre à la violence au travail.
En bref, les employeurs peuvent être tenus responsables de la violence au travail s’ils connaissaient ou auraient dû connaître le risque de violence et n’ont pas pris de mesures raisonnables pour l’empêcher.
Les employeurs peuvent être tenus pour responsables de la violence au travail de plusieurs manières. Par exemple, si un employé est blessé ou tué par un autre employé, la famille de la victime peut intenter un procès pour mort injustifiée contre l’employeur. Si un employé est blessé par un client ou un autre tiers, il peut intenter un procès pour dommages corporels contre l’employeur.
En outre, les employeurs peuvent être tenus responsables d’une embauche négligente s’ils ne procèdent pas à une vérification raisonnable des antécédents d’un employé qui commet ensuite des actes de violence au travail. Les employeurs peuvent également être tenus responsables de négligence en matière de sécurité s’ils ne prennent pas de mesures raisonnables pour protéger les employés contre les risques connus de violence.
Si vous êtes témoin d’un acte de violence au travail, la première chose à faire est de le signaler à votre supérieur hiérarchique ou à une autre autorité. Si vous avez l’impression d’être en danger immédiat, vous devez également appeler le 911. Il est important d’essayer de rester calme et d’éviter d’envenimer la situation.
Si vous êtes victime de harcèlement au travail, vous pouvez prendre trois mesures :
1. parlez-en. Faites savoir à la personne que son comportement n’est pas le bienvenu et indiquez clairement que vous voulez qu’il cesse.
2. Tenez un registre. Conservez une trace écrite des incidents, y compris les dates, heures, lieux, témoins et ce qui a été dit ou fait. Cela vous sera utile si vous décidez de prendre d’autres mesures.
Demandez de l’aide. Parlez de la situation à un superviseur, aux ressources humaines ou à un programme d’aide aux employés. Ils peuvent vous aider à décider de la marche à suivre et peuvent être en mesure de prendre des mesures en votre nom.