Le Cyber Intelligence Sharing and Protection Act of 2011 (CISPA) est une proposition de loi américaine qui a été proposée à la Chambre des représentants des États-Unis en novembre 201
L’objectif principal du CISPA est de faciliter le partage d’informations entre le secteur privé et le gouvernement afin de prévenir les cybermenaces. Elle permet également au gouvernement d’obtenir des informations de cybersécurité du secteur privé et encourage les entreprises privées à partager des informations de cybersécurité avec le gouvernement.
Le CISPA et la vie privée –
L’une des principales préoccupations concernant le CISPA est son impact sur la vie privée. Les partisans du projet de loi affirment qu’il ne permet pas au gouvernement de surveiller les communications privées et qu’il n’accroît pas l’autorité du gouvernement sur les entreprises privées. Les opposants, en revanche, affirment qu’il permet au gouvernement d’obtenir des informations privées sans autorisation préalable et qu’il ne protège pas suffisamment la vie privée des citoyens.
Une autre préoccupation majeure concernant le CISPA est son impact sur les libertés civiles. Les partisans du projet de loi affirment qu’il ne porte pas atteinte aux libertés civiles et qu’il est conçu pour protéger les citoyens des cybermenaces. Les opposants, cependant, affirment qu’il permet au gouvernement d’obtenir des informations privées sans autorisation appropriée et qu’il ne protège pas suffisamment les libertés civiles.
Le CISPA a également des répercussions sur la sécurité des entreprises. Les partisans du projet de loi affirment qu’il aidera les entreprises à se protéger des cybermenaces en leur permettant de partager des informations avec le gouvernement. Les opposants, en revanche, estiment qu’il ne protège pas suffisamment les entreprises contre les cybermenaces et qu’il n’incite pas suffisamment les entreprises à partager des informations avec le gouvernement.
Le CISPA a également des répercussions sur l’accès du gouvernement aux informations privées. Les partisans du projet de loi affirment qu’il ne donne pas au gouvernement de nouveaux pouvoirs pour accéder aux informations privées et qu’il ne permet pas au gouvernement de surveiller les communications privées. Les opposants, en revanche, affirment qu’il permet au gouvernement d’accéder à des informations privées sans autorisation appropriée et qu’il ne fournit pas de protections suffisantes pour la vie privée des citoyens.
Le CISPA a également des répercussions sur les poursuites judiciaires. Les partisans du projet de loi affirment qu’il ne confère pas au gouvernement de nouveaux pouvoirs juridiques pour engager des poursuites, et qu’il ne permet pas au gouvernement d’engager des poursuites contre des entreprises privées. Les opposants, en revanche, affirment qu’il permet au gouvernement d’intenter des poursuites contre des entreprises privées sans autorisation appropriée et qu’il ne protège pas suffisamment les droits des citoyens.
Le Cyber Intelligence Sharing and Protection Act of 2011 (CISPA) est un projet de loi américain qui a été proposé à la Chambre des représentants des États-Unis en novembre 2011. Il a été conçu pour permettre aux entreprises privées et au gouvernement américain de partager des informations sur la cybersécurité. Le projet de loi a suscité de nombreux débats, les partisans soutenant qu’il contribuera à protéger les citoyens et les entreprises contre les cybermenaces, tandis que les opposants affirment qu’il ne protège pas suffisamment la vie privée et les libertés civiles des citoyens.
Le Cybersecurity Information Sharing Act est l’acronyme de la loi sur le partage et la protection des informations relatives à la cybersécurité. Cette loi a été instituée en 2015 afin d’améliorer la cybersécurité en encourageant le partage d’informations entre le secteur privé et le gouvernement. Cette loi a également créé des protections en matière de responsabilité pour les entreprises qui partagent des informations de bonne foi.
Le Cybersecurity Information Sharing Act de 2015 est une loi qui encourage les entreprises et les organisations à partager des informations sur les menaces de cybersécurité avec le gouvernement. L’objectif de cette loi est d’aider le gouvernement et les entreprises à mieux se protéger contre les cyberattaques. La loi permet aux entreprises de partager des informations avec le gouvernement de manière confidentielle, et elle prévoit également des protections en matière de responsabilité pour les entreprises qui partagent des informations.
Le Cybersecurity Act de 2013 est une loi qui a été adoptée en réponse au nombre croissant de cyberattaques. La loi exigeait que le ministère de la Sécurité intérieure élabore un plan pour protéger les infrastructures essentielles contre les cyberattaques, et elle a également créé un programme volontaire pour que les entreprises partagent des informations sur les cybermenaces.
La cyberassurance couvre un large éventail de risques, notamment les violations de données, les cyberattaques et autres défaillances de la sécurité de l’information. Elle peut également couvrir l’interruption des activités, l’atteinte à la réputation et d’autres pertes pouvant résulter d’un cyberincident.
Il existe quatre catégories d’assurance cyber et vie privée :
1. Couverture des atteintes à la protection des données : Ce type d’assurance offre une protection en cas de violation des données, ce qui peut inclure les dépenses liées à la notification des personnes touchées, à la fourniture de services de surveillance du crédit et à la défense contre les poursuites judiciaires.
2. Couverture de la cyber-responsabilité : Ce type d’assurance protège les entreprises de la responsabilité dans le cas où elles sont poursuivies pour des choses comme la diffamation, les violations de la vie privée ou la violation des droits d’auteur.
3. couverture de la sécurité des réseaux et de la confidentialité : Ce type d’assurance protège les entreprises de toute responsabilité en cas d’atteinte à la sécurité de leur réseau et d’exposition des données des clients. Elle peut également couvrir les dépenses liées à la restauration des données perdues et à la réparation des systèmes endommagés.
4. couverture de la première partie : Ce type d’assurance couvre les dépenses liées à la perte de données, à l’interruption des activités et à la cybercriminalité, que l’entreprise soit tenue responsable ou non.