Pour réaliser un compteur modulo 8 à partir de 3 bascules J-K qu’on relie de la manière suivante : L’impulsion d’horloge est appliquée simultanément à chaque bascule. Celles-ci évoluent en fonction des informations présentent sur leurs entrées J, K au moment ou apparait l’impulsion.
Un compteur modulo 8 est un circuit numérique qui compte de 0 à 7 et recommence. Ce type de compteur est largement utilisé en électronique, notamment dans les diviseurs de fréquence et les horloges numériques. Dans cet article, nous verrons comment fabriquer un compteur modulo 8 et répondrons à quelques questions connexes.
Pour fabriquer un compteur modulo 8, nous devons utiliser des D flip-flops. Une bascule D est un circuit logique séquentiel qui stocke un bit de données. Elle possède deux entrées : une entrée de données (D) et une entrée d’horloge (CLK). Lorsque CLK passe de 0 à 1, l’entrée D est transférée à la sortie (Q) de la bascule. La sortie reste stable jusqu’à la prochaine impulsion de l’horloge.
Pour réaliser un compteur modulo 8, nous avons besoin de trois bascules D. La première bascule est connectée à la sortie (Q) de la bascule. La première bascule est connectée au signal d’horloge, et les deux autres sont connectées à la sortie de la bascule précédente. Les connexions entre les bascules sont réalisées de telle sorte que la sortie de chaque bascule est connectée à l’entrée d’horloge de la bascule suivante. La première bascule compte le nombre binaire 0 ou 1, la deuxième bascule compte le nombre binaire 0 ou 2 et la troisième bascule compte le nombre binaire 0 ou 4. En combinant les sorties de ces bascules, on obtient le compteur modulo 8.
Une bascule modulo 8 est un type de compteur qui compte de 0 à 7, puis recommence. Elle est similaire à un compteur modulo 8, mais elle n’utilise qu’une seule bascule. La bascule est connectée à une boucle de rétroaction qui génère la séquence de comptage. La boucle de rétroaction se compose de plusieurs portes logiques qui combinent la sortie de la bascule avec le signal d’horloge pour générer l’état suivant. L’avantage de ce type de compteur est qu’il nécessite moins de composants qu’un compteur modulo 8.
La différence entre un compteur asynchrone et un compteur synchrone réside dans la manière dont les bascules sont connectées. Dans un compteur asynchrone, les sorties des bascules sont connectées aux entrées d’horloge des bascules suivantes. Cela signifie que les sorties changent de manière asynchrone, en fonction des délais de propagation des portes. Dans un compteur synchrone, toutes les bascules sont commandées par le même signal d’horloge, ce qui garantit que les sorties changent de manière synchrone.
Pour réaliser un compteur modulo 10, nous devons utiliser quatre bascules D. Les connexions entre les bascules sont les suivantes Les connexions entre les bascules sont réalisées de telle sorte que la première bascule compte le nombre binaire 0 ou 1, la deuxième bascule compte le nombre binaire 0 ou 2, la troisième bascule compte le nombre binaire 0 ou 4 et la quatrième bascule compte le nombre binaire 0 ou 8. En combinant les sorties de ces bascules, on obtient le compteur modulo 10.
Un registre actif fonctionne sur le front d’un signal d’horloge. Cela signifie que la sortie du registre ne change que lorsque le signal d’horloge passe de 0 à 1 ou de 1 à 0. On parle alors de registre déclenché sur le front. L’avantage de ce type de registre est qu’il réduit le risque de glitches ou de transitions inattendues dans la sortie. Il simplifie également l’analyse temporelle du circuit.
Pour obtenir une bascule JK à partir d’une bascule D, vous pouvez connecter deux bascules D ensemble et ajouter une porte logique pour contrôler l’entrée de la seconde bascule. Plus précisément, vous pouvez introduire la sortie de la première bascule D dans les entrées J et K de la seconde bascule D. Ensuite, vous pouvez utiliser une porte XOR pour combiner l’entrée D d’origine avec la sortie de la deuxième bascule afin de contrôler le moment où la deuxième bascule doit basculer. Cela permet de créer une bascule JK à partir de deux bascules D et d’une porte logique.