- Réduire des difficultés de recrutement,
- Faire face à un problème de pyramide des âges,
- Résoudre une situation de sureffectif,
- Optimiser les dispositifs de formation,
- Développer la qualification des salariés,
- Valoriser les compétences individuelles et/ ou collectives,
GPEC est l’abréviation de Gross Profit Economic Contribution, un terme utilisé dans le monde des affaires pour mesurer la rentabilité d’un produit ou d’une entreprise. La GPEC est calculée en soustrayant le coût des marchandises vendues des recettes, puis en soustrayant les coûts variables. Le chiffre obtenu est la marge brute. La marge brute est ensuite divisée par le chiffre d’affaires pour déterminer la marge bénéficiaire brute. Les objectifs de la GPEC sont d’accroître la rentabilité, d’identifier les domaines de réduction des coûts et d’améliorer l’efficacité.
Pour calculer le pourcentage entre deux valeurs, divisez la différence entre les deux valeurs par la valeur d’origine et multipliez par 100. Par exemple, si la valeur initiale est de 100 et la nouvelle valeur de 120, la différence est de 20. Pour calculer le pourcentage d’augmentation, divisez 20 par 100 et multipliez par 100, ce qui donne une augmentation de 20 %.
Calcul de l’effet de volume et de l’écart d’objectif
L’effet de volume est la différence de profit entre le niveau de production actuel et un niveau de production hypothétique. Pour calculer l’effet de volume, il faut soustraire le GPEC au niveau de production actuel du GPEC au niveau de production hypothétique.
L’écart objectif est la différence entre le niveau de rentabilité actuel et le niveau de rentabilité souhaité. Pour calculer l’écart objectif, il faut soustraire la marge bénéficiaire brute souhaitée de la marge bénéficiaire brute actuelle et la diviser par la marge bénéficiaire brute actuelle. Par exemple, si la marge brute souhaitée est de 35 % et la marge brute actuelle de 30 %, l’écart par rapport à l’objectif est de 16,67 %.
L’effet de prix est le changement de rentabilité résultant d’un changement de prix. Pour calculer l’effet de prix, il faut multiplier le changement de prix par l’élasticité de la demande par rapport au prix et par le volume actuel. Par exemple, si le prix d’un produit augmente de 10 %, que l’élasticité de la demande par rapport au prix est de -1,5 et que le volume actuel est de 1000, l’effet prix est de -1500. Cela signifie que l’augmentation du prix entraînera une diminution de la rentabilité de 1500 $.
En conclusion, les objectifs de la GPEC sont d’accroître la rentabilité, d’identifier les domaines de réduction des coûts et d’améliorer l’efficacité. Pour atteindre ces objectifs, les entreprises doivent calculer différents ratios et effets tels que l’effet de volume, l’écart d’objectif et l’effet de prix. La compréhension de ces calculs peut aider les entreprises à prendre des décisions éclairées et à améliorer leur rentabilité.
La comptabilité analytique est un processus de collecte, d’analyse et de communication d’informations financières relatives aux coûts encourus par une entreprise. Elle implique l’identification et la classification des coûts, l’affectation des coûts aux produits ou services et l’analyse de la rentabilité de chaque produit ou service. L’objectif principal de la comptabilité analytique est d’aider les entreprises à contrôler leurs coûts, à prendre des décisions éclairées et à améliorer leur rentabilité. Les comptables utilisent diverses méthodes et outils, tels que le calcul des coûts par poste, le calcul des coûts par processus, le calcul des coûts par activité et le calcul des coûts standard, pour calculer et répartir les coûts. Ils préparent également des rapports tels que des états de coûts, des feuilles de coûts et des rapports d’analyse des écarts afin de fournir à la direction des informations précieuses sur les performances financières de l’entreprise.
Le contrôle budgétaire du résultat consiste à comparer les résultats réels obtenus avec les résultats budgétés, à analyser les écarts éventuels et à prendre des mesures correctives pour s’assurer que les résultats réels sont conformes au budget. Pour ce faire, il convient de mettre en place un système de suivi et de communication des résultats réels, de les comparer aux résultats budgétés et d’analyser les raisons des écarts éventuels. Les mesures correctives peuvent inclure la révision du budget, l’ajustement des opérations ou l’amélioration des performances des services ou des personnes responsables de l’obtention des résultats. Le système de contrôle budgétaire doit également comprendre un mécanisme d’examen régulier et de retour d’information pour s’assurer que les mesures correctives sont efficaces et que les résultats sont en voie d’atteindre les objectifs de la GPEC.