Également appelés rançongiciels (contraction de rançon et de logiciel), il s’agit des virus les plus répandus actuellement. Les attaques se sont multipliées en 2020.
Le monde numérique a donné naissance à un nouveau spectre de menaces pour la sécurité de l’information. La montée des cyberattaques devient un danger omniprésent et imminent pour les particuliers, les entreprises et même les gouvernements. Mais qu’est-ce qu’une cyberattaque ?
Une cyberattaque est une tentative malveillante de perturber, d’endommager ou d’obtenir un accès non autorisé à un système, un réseau ou un appareil informatique. Elle peut être menée par divers moyens tels que le phishing, les logiciels malveillants, les ransomwares, les attaques par déni de service, etc. Les cyberattaques peuvent avoir des conséquences néfastes, entraînant des violations de données, des pertes financières, des atteintes à la réputation, voire des dommages physiques.
Ces dernières années, une nouvelle catégorie de cyberattaques est apparue, ciblant les sites web. Un exemple en est l’attaque du site web Pix, où une vulnérabilité dans le code du site est exploitée pour injecter un code malveillant qui redirige les utilisateurs vers un site d’hameçonnage. Ce type d’attaque est communément appelé attaque par défiguration de site web.
Un autre terme utilisé de manière interchangeable avec les cyberattaques sur les sites web est le piratage de sites web. Il s’agit de l’accès non autorisé au serveur ou à la base de données d’un site web, soit pour voler des données sensibles, soit pour défigurer le site. Le piratage de sites web peut être réalisé en exploitant des vulnérabilités dans le code du site web, en effectuant des attaques par force brute sur les identifiants de connexion ou en utilisant des tactiques d’ingénierie sociale.
Le type de pirate responsable des cyberattaques peut varier. Il existe trois grandes catégories de pirates : les pirates « chapeau blanc », les pirates « chapeau noir » et les pirates « chapeau gris ». Les hackers « white hat » sont des hackers éthiques qui sont engagés pour tester la sécurité d’un système et identifier les vulnérabilités. Les hackers « black hat » sont des hackers malveillants qui mènent des cyberattaques à des fins personnelles, pour des raisons politiques ou simplement pour le plaisir. Les hackers « gris » se situent entre les deux, menant des activités non autorisées mais sans intention malveillante.
L’aspect offensif des cyberattaques réside dans le fait qu’elles peuvent être menées de n’importe où dans le monde, ce qui rend difficile la traque de leurs auteurs. En outre, les cyberattaques peuvent être très sophistiquées et utiliser des outils et des techniques avancés difficiles à détecter. Avec la dépendance croissante à l’égard de la technologie, les cyberattaques deviennent de plus en plus fréquentes et sophistiquées. Il est donc impératif que les individus et les organisations prennent des mesures proactives pour protéger leurs actifs numériques.
En conclusion, une cyberattaque est une tentative malveillante de perturber, d’endommager ou d’obtenir un accès non autorisé à un système, un réseau ou un appareil informatique. La terminologie utilisée pour décrire les cyberattaques contre les sites web peut varier, mais elles font toutes référence à l’accès non autorisé au serveur d’un site web ou à l’injection d’un code malveillant. Le type de pirate responsable des cyberattaques peut également varier, les principales catégories étant les pirates « chapeau blanc », « chapeau noir » et « chapeau gris ». La nature offensive des cyberattaques réside dans leur capacité à être menées de n’importe où dans le monde et dans leur sophistication, ce qui rend la prévention et la détection cruciales pour la sauvegarde des actifs numériques.
Les pirates de sites web sont communément appelés « cybercriminels » ou « hackers ». Toutefois, le terme spécifique utilisé peut dépendre de la nature de l’attaque et des motivations de l’attaquant. Par exemple, un pirate qui cherche à voler des données sensibles à des fins financières peut être appelé « cyber-voleur » ou « cybercriminel », tandis qu’un pirate qui cherche à perturber ou à endommager un site web ou un réseau peut être appelé « cyberterroriste » ou « hacktiviste ».