Le scanner, ou tomodensitométrie, utilise des rayons X et un logiciel informatique avancé pour créer des images détaillées du corps. Lors d’un scanner, le patient est allongé sur une table qui glisse dans une grande machine en forme de beignet. Pendant que la table se déplace dans la machine, des rayons X sont utilisés pour capturer des images du corps sous différents angles. Ces images sont ensuite combinées par l’ordinateur pour créer une image 3D détaillée qui peut être utilisée pour diagnostiquer un large éventail de conditions médicales.
En revanche, l’uroscanner est un type spécialisé de tomodensitométrie utilisé pour créer des images des voies urinaires. Lors d’un uroscanner, un colorant est injecté dans les veines du patient, ce qui permet de mettre en évidence les voies urinaires et de créer des images plus claires. Le patient est ensuite allongé sur une table et passe au scanner, qui utilise des rayons X pour obtenir des images détaillées des voies urinaires.
L’une des principales différences entre le scanner et l’uroscanner est la zone du corps sur laquelle ils se concentrent. Alors que le scanner peut être utilisé pour créer des images de n’importe quelle partie du corps, l’uroscanner est spécifiquement conçu pour créer des images des voies urinaires. L’uroscanner est donc un outil utile pour diagnostiquer des pathologies telles que les calculs rénaux, les infections urinaires et les tumeurs de la vessie ou des reins.
Une autre différence entre ces deux examens est la préparation nécessaire. Dans certains cas, les patients doivent rester à jeun pendant plusieurs heures avant le scanner pour s’assurer que leur estomac est vide et que les images sont claires. Toutefois, cela n’est pas toujours nécessaire pour un uroscanner. Au lieu de cela, les patients peuvent avoir besoin de boire une grande quantité d’eau avant la procédure pour aider à remplir la vessie et la rendre plus facile à voir sur les images.
Enfin, les résultats d’un scanner ou d’un uroscanner sont généralement disponibles en quelques jours. Toutefois, dans certains cas, les images devront être examinées par un spécialiste avant qu’un diagnostic puisse être établi. Dans les deux cas, les patients doivent discuter des résultats avec leur fournisseur de soins de santé pour comprendre ce que les images montrent et quelles sont les prochaines étapes nécessaires.
En conclusion, bien que les tomodensitogrammes et les uroscanners soient tous deux utilisés pour créer des images du corps, ils sont conçus à des fins différentes et nécessitent une préparation différente. En comprenant ces différences, les patients peuvent mieux se préparer à ces examens et travailler avec leurs prestataires de soins de santé pour obtenir un diagnostic et un plan de traitement précis.
Le scanner et l’uroscanner sont tous deux des techniques d’imagerie diagnostique qui permettent de détecter des anomalies dans les voies urinaires. Cependant, il existe quelques différences entre les deux.
Le scanner utilise des rayons X pour générer des images détaillées des structures internes du corps. Il est souvent utilisé pour diagnostiquer des pathologies telles que les calculs rénaux ou les infections urinaires. L’uroscanner, quant à lui, est un type de tomodensitométrie spécialisé, spécialement conçu pour l’imagerie des voies urinaires. Il utilise un colorant de contraste pour mettre en évidence le système urinaire et peut fournir des informations plus détaillées qu’un scanner standard.
Pour ce qui est de la raison pour laquelle le scanner est préféré à l’IRM pour l’imagerie des voies urinaires, c’est parce que le scanner est plus rapide et plus largement disponible. Les IRM peuvent être plus longues à réaliser et sont généralement plus coûteuses que les tomodensitométries. En outre, l’IRM peut ne pas convenir aux patients qui ont certains types d’implants ou de dispositifs médicaux.