Dans l’ Explorateur d’objets, connectez-vous à une instance du Moteur de base de données SQL Server et développez-la. Cliquez avec le bouton droit sur Bases de données, puis sélectionnez Nouvelle base de données. Dans Nouvelle base de données, entrez le nom de la base de données.
SQL, ou Structured Query Language, est un langage de programmation utilisé pour gérer les bases de données relationnelles. La création d’une base de données est une étape importante dans le développement de toute application. Dans cet article, nous allons vous guider à travers les étapes nécessaires pour créer une base de données sur SQL.
Avant de créer une base de données, vous devez écrire un script SQL. C’est un ensemble d’instructions qui permettent de créer des tables, des colonnes, des relations et d’autres objets de base de données. La syntaxe de SQL est relativement simple et facile à apprendre. Vous pouvez utiliser des outils de développement tels que SQL Server Management Studio ou Visual Studio Code pour écrire des scripts SQL.
La base de données SQL Server est stockée sur le serveur. Vous devez installer SQL Server sur votre machine ou vous connecter à un serveur distant pour accéder à la base de données. Vous avez besoin des informations de connexion appropriées pour vous connecter à la base de données, telles que le nom d’utilisateur et le mot de passe.
Pour créer une base de données sur SQL, vous devez d’abord vous connecter à SQL Server Management Studio. Ensuite, vous pouvez utiliser la commande CREATE DATABASE pour créer une nouvelle base de données. Vous pouvez spécifier le nom de la base de données et les paramètres de configuration tels que la taille, l’emplacement et la sécurité.
La commande qui permet de créer une base de données est CREATE DATABASE. Voici un exemple de commande qui crée une base de données nommée « MaBaseDeDonnees » avec une taille de 10 Mo et un emplacement de fichier de données par défaut :
CREATE DATABASE MaBaseDeDonnees
ON PRIMARY
( NAME = MaBaseDeDonnees_dat,
FILENAME = ‘C:Program FilesMicrosoft SQL ServerMSSQL15.MSSQLSERVERMSSQLDATAMaBaseDeDonnees.mdf’,
SIZE = 10MB,
MAXSIZE = UNLIMITED,
FILEGROWTH = 10% )
LOG ON
( NAME = MaBaseDeDonnees_log,
FILENAME = ‘C:Program FilesMicrosoft SQL ServerMSSQL15.MSSQLSERVERMSSQLDATAMaBaseDeDonnees_log.ldf’,
SIZE = 10MB,
MAXSIZE = UNLIMITED,
FILEGROWTH = 10% )
Il existe plusieurs modèles de données, tels que le modèle relationnel, le modèle hiérarchique, le modèle réseau et le modèle objet. Le modèle relationnel est le plus couramment utilisé dans les bases de données relationnelles. Il utilise des tables pour stocker les données et des relations pour connecter les tables entre elles. Le modèle hiérarchique utilise une structure arborescente pour organiser les données. Le modèle réseau utilise également une structure arborescente, mais permet des relations multiples entre les enregistrements. Le modèle objet utilise des objets pour stocker les données et les relations.
Il existe plusieurs modèles de base de données, chacun avec ses propres caractéristiques et avantages :
1. Modèle hiérarchique : les données sont organisées sous forme d’arborescence, avec un nœud racine et des nœuds enfants.
2. Modèle réseau : similaire au modèle hiérarchique, mais avec des relations plus complexes entre les nœuds.
3. Modèle relationnel : les données sont organisées sous forme de tables avec des relations entre elles.
4. Modèle objet : les données sont organisées sous forme d’objets, avec des propriétés et des méthodes.
5. Modèle en graphe : les données sont organisées sous forme de nœuds et de liens, permettant de représenter des relations complexes.
Il existe différents types de données en SQL, notamment les types de données numériques tels que INT, FLOAT et DECIMAL, les types de données de caractères tels que CHAR et VARCHAR, les types de données de date et d’heure tels que DATE et TIME, ainsi que les types de données binaires tels que BLOB et BIT.
Un script SQL est un ensemble d’instructions écrites en langage SQL qui permettent d’interagir avec une base de données. Ce script peut contenir des commandes pour créer, modifier ou supprimer des tables, des index, des vues ou des procédures stockées dans la base de données. Il peut également inclure des requêtes pour extraire ou modifier des données dans la base de données.