- Courriel. Il s’agit de la forme la plus commune d’attaque d’hameçonnage.
- Harponnage.
- Manipulation de liens.
- Faux sites Web.
- Fraude du président.
- Injection de contenu.
- Détournement de session.
- Maliciel.
L’hameçonnage, également appelé phishing, est une technique utilisée par les cybercriminels pour obtenir des informations sensibles, telles que des identifiants de connexion ou des données bancaires, en se faisant passer pour une entité de confiance. Il existe plusieurs types d’hameçonnage, chacun avec ses propres caractéristiques et impacts.
Le premier type d’hameçonnage est l’hameçonnage par courrier électronique. Les cybercriminels envoient des courriels frauduleux qui ressemblent à s’y méprendre à des courriels légitimes. Ces courriels peuvent contenir des liens vers des sites web frauduleux ou des pièces jointes infectées par des logiciels malveillants.
Le deuxième type d’hameçonnage est l’hameçonnage par SMS. Les cybercriminels envoient des SMS frauduleux, souvent en se faisant passer pour une institution financière ou un autre service de confiance, dans le but d’obtenir des informations personnelles.
Le troisième type d’hameçonnage est l’hameçonnage par téléphone. Les cybercriminels appellent les victimes et se font passer pour des représentants d’une entreprise de confiance, telle qu’une banque ou un fournisseur d’énergie, pour obtenir des informations personnelles.
Une attaque de type DDoS amplification est une attaque dans laquelle le pirate envoie une quantité massive de trafic vers une cible, en utilisant des serveurs DNS ou NTP mal configurés pour amplifier le volume de trafic. Cette attaque peut saturer la bande passante de la cible et la rendre inaccessible.
L’attaque DoS (Déni de service) qui provient d’un hôte malveillant qui demande une connexion au client alors que son adresse IP source n’est pas valide est appelée une attaque SYN flood. Cette attaque peut également saturer la bande passante de la cible et la rendre inaccessible.
Il n’y a pas de port spécifique à choisir pour une attaque DDoS. Les pirates peuvent utiliser n’importe quel port pour lancer une attaque, mais certains ports, tels que le port 80 (HTTP) ou le port 443 (HTTPS), sont plus couramment ciblés car ils sont souvent utilisés pour des sites web.
Les impacts d’une attaque informatique peuvent être dévastateurs à long terme. Les entreprises peuvent perdre des données importantes, subir des pertes financières, perdre la confiance de leurs clients et subir des dommages à leur réputation.
La cybercriminalité peut avoir de nombreux impacts sur la société. Elle peut entraîner des pertes financières massives, la perte de données sensibles, la violation de la vie privée des individus et la perturbation des infrastructures critiques. Elle peut également affecter la confiance des consommateurs dans l’utilisation des services en ligne et avoir un impact sur l’économie dans son ensemble. Il est donc important de prendre des mesures de sécurité informatique pour se protéger contre ces menaces.
Les risques pour une organisation en cas de cyberattaque peuvent être nombreux et variés. Parmi eux, on peut citer la perte de données sensibles, la violation de la vie privée des clients ou des employés, le vol de propriété intellectuelle, les coûts financiers pour restaurer les systèmes informatiques endommagés, la perte de confiance des clients et des partenaires commerciaux, ainsi que les répercussions sur la réputation de l’entreprise. Les cyberattaques peuvent également perturber les opérations commerciales et causer des interruptions de service, entraînant ainsi des pertes de revenus. En résumé, les impacts d’une cyberattaque peuvent être très graves pour une organisation, allant jusqu’à menacer sa survie.
L’attaque informatique qui permet d’empêcher un serveur de fonctionner est appelée une attaque DDoS (Déni de Service Distribué). Elle consiste à inonder un serveur avec un grand nombre de demandes simultanées provenant de multiples sources, rendant ainsi le serveur inaccessible aux utilisateurs légitimes.
Une attaque de type phishing est une technique utilisée par les cybercriminels pour obtenir des informations confidentielles telles que des identifiants de connexion, des mots de passe, des informations bancaires, etc. en se faisant passer pour une entité de confiance via un email, un SMS ou un site Web frauduleux. L’objectif est de tromper la victime pour qu’elle fournisse ses informations personnelles, qui seront ensuite utilisées à des fins malveillantes.