- VMware Workstation Pro. Payant. La solution de virtualisation de VMware pour les entreprises.
- Oracle VM VirtualBox. Gratuit. Un logiciel de virtualisation open source.
- VMware Workstation Player. Freemium.
- Parallels Desktop. Payant.
- VMware Fusion. Freemium.
La virtualisation est une technologie qui permet d’exécuter plusieurs systèmes d’exploitation sur un même serveur physique. Cette solution présente de nombreux avantages, notamment en termes de réduction des coûts et d’optimisation des ressources. Il existe deux types d’hyperviseur, la virtualisation de type 1 et la virtualisation de type 2, qui diffèrent par leur mode de fonctionnement.
La virtualisation permet de consolider plusieurs serveurs physiques en un seul, ce qui réduit considérablement les coûts d’acquisition et de maintenance. En effet, un serveur physique coûte plus cher qu’un serveur virtuel, qui peut être créé et supprimé facilement. De plus, la virtualisation permet d’optimiser l’utilisation des ressources matérielles, en répartissant la charge de travail sur plusieurs machines virtuelles. Ainsi, la capacité de traitement est maximisée, tout en réduisant la consommation d’énergie.
Il existe deux types d’hyperviseur : la virtualisation de type 1 et la virtualisation de type 2. La virtualisation de type 1, également appelée virtualisation bare metal, s’exécute directement sur le matériel physique, sans système d’exploitation hôte. Cette solution est plus performante, car elle permet de gérer directement les ressources matérielles. La virtualisation de type 2, quant à elle, s’exécute sur un système d’exploitation hôte, comme une application. Cette solution est plus simple à mettre en place, mais elle est moins performante que la virtualisation de type 1.
La principale différence entre la virtualisation de type 1 et la virtualisation de type 2 réside dans leur mode de fonctionnement. La virtualisation de type 1 s’exécute directement sur le matériel physique, ce qui lui permet de gérer directement les ressources matérielles. La virtualisation de type 2, quant à elle, s’exécute sur un système d’exploitation hôte, ce qui la rend moins performante. De plus, la virtualisation de type 1 est plus sécurisée, car elle isole complètement les machines virtuelles les unes des autres.
La virtualisation a été inventée dans les années 1960 par un informaticien américain du nom de Gerald J. Popek. À l’époque, la virtualisation était utilisée pour exécuter plusieurs systèmes d’exploitation sur des ordinateurs centraux. Depuis, la virtualisation s’est démocratisée, notamment grâce à l’essor des serveurs et des réseaux.
La virtualisation et la consolidation des serveurs sont deux solutions qui permettent de réduire les coûts et d’optimiser les ressources. La virtualisation consiste à exécuter plusieurs systèmes d’exploitation sur un même serveur physique, tandis que la consolidation des serveurs consiste à regrouper plusieurs serveurs physiques sur un même serveur. La virtualisation est plus souple et permet de gérer plus finement les ressources, tandis que la consolidation des serveurs est plus simple à mettre en place.
Un logiciel de virtualisation est un programme informatique qui permet de créer des machines virtuelles sur un système physique. Il permet de simuler un environnement informatique complet, avec ses propres ressources matérielles et logicielles, de manière indépendante du système hôte. Cela permet d’optimiser l’utilisation des ressources informatiques, de faciliter la gestion des environnements de travail et de réduire les coûts de maintenance.
La virtualisation est une technologie qui permet de créer des machines virtuelles sur un seul serveur physique. Les caractéristiques de la virtualisation incluent la possibilité de créer plusieurs environnements de travail isolés les uns des autres, l’optimisation des ressources matérielles, la flexibilité et la mobilité des machines virtuelles, la gestion centralisée des machines virtuelles et la réduction des coûts d’exploitation.
Les inconvénients de la virtualisation incluent une possible surcharge de l’hôte physique, ce qui peut affecter les performances des machines virtuelles, ainsi que la complexité accrue de la gestion de l’infrastructure virtuelle. De plus, la virtualisation peut également présenter des risques de sécurité, car les machines virtuelles partagent le même matériel physique et peuvent être vulnérables à des attaques à partir d’autres machines virtuelles sur le même serveur. Enfin, la mise en place d’un environnement virtuel peut nécessiter des coûts supplémentaires liés au matériel, aux licences logicielles et à la formation du personnel.