La cryptographie quantique est l'application des principes de la mécanique quantique au chiffrement pour mieux sécuriser les connexions entre deux parties. Il a gagné du terrain dans les années 1980 lorsque Charles Bennett et Gilles Brassard ont introduit leur protocole de distribution de clés quantiques, appelé BB84. La distribution de clé quantique utilise des particules de lumière subatomiques - des photons - comme moyen de choisir une clé de chiffrement secrète. Avant de générer la clé, les deux parties doivent interagir et authentifier leurs identités. Ensuite, les photons sont envoyés à travers un câble et sont divisés au hasard par un séparateur de faisceau. Les photons restants déterminent la clé, qui n'est désormais connue que des interlocuteurs.
La distribution de clés quantiques doit être utilisée avec d'autres pratiques de chiffrement pour une sécurité optimale. Cela a échoué auparavant, mais cela était dû à une mise en œuvre défectueuse plutôt qu'aux principes de la mécanique quantique, qui sont fiables et cohérents.
La cryptographie quantique méfiante utilise différentes méthodes pour créer une connexion cryptée, comme le retournement de pièces et le transfert inconscient. Les deux parties ne se font pas confiance, ce qui augmente la probabilité de tricherie, et il est généralement impossible de créer une sécurité inconditionnelle. Les méthodes de cryptographie quantique méfiante doivent être utilisées avec d'autres méthodes de cryptage.
L'avantage de la cryptographie quantique est sa sécurité. Puisque la connexion entre les deux parties est établie à l'aide de photons, toute tentative de brèche perturbera clairement les photons. Ces parties remarqueront quiconque tente d'écouter ou d'interrompre la communication. Une connexion cryptographique établie par la physique est plus sécurisée que les autres protocoles de cryptage; sa sécurité peut être prouvée par les principes de la physique.